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Top 10 des métiers des médecines douces

top 10 métier médecine douce

Les traitements via des méthodes naturelles connaissent un franc succès en France. La raison ? Ils sont efficaces et ne provoquent que très peu d’effets secondaires. Pour les praticiens spécialisés dans la médecine douce, l’avenir est très prometteur. Focus sur les 10 métiers tendance actuellement.

  1. Le naturopathe

Ce praticien a pour mission d’aider ses clients à maintenir et améliorer leur état de santé et prévenir certaines maladies. Pour cela, il peut être amené à les conseiller sur leur alimentation, les exercices physiques à privilégier, l’hygiène de vie à adopter et bien d’autres encore. Il mise principalement sur des méthodes naturelles pour traiter certaines pathologies et calmer les douleurs.

Avant de dresser un programme sur mesure, il réalise un diagnostic global sur la santé générale des consultants en prenant en compte leurs antécédents médicaux, les symptômes ressentis, les habitudes de vie et les conditions physiques. Il sera ainsi en mesure de proposer des solutions appropriées pour renforcer les défenses immunitaires, remédier aux carences et équilibrer le corps. Il assure également un suivi personnalisé afin d’ajuster le traitement en fonction des résultats obtenus. Aujourd’hui, cette thérapie est reconnue par l’OMS. Si ce métier vous intéresse, il est conseillé de suivre une formation professionnelle pour être opérationnel rapidement. Si le temps vous manque, optez pour des cours accélérés ou intensifs. Certaines écoles proposent aussi des formations en e-learning.

A lire : Formation de naturopathe : laquelle choisir en 2023 ?

 

  1. Le réflexologue

Le réflexologue pratique de la médecine alternative. Son objectif est de stimuler les points stratégiques du corps encore appelés zones de réflexe. Il s’agit d’ailleurs d’un excellent moyen pour favoriser l’autoguérison. Le but est d’améliorer la circulation de l’énergie vitale et de drainer les toxines. Ces zones sont en général situées sous les pieds, au niveau du visage, des oreilles ou du crâne ou même dans la paume des mains.

Dans un premier temps, le praticien réalise un bilan de santé. Par la suite, il effectue une série de manipulations (pression et toucher) afin de localiser les tensions et dénouer les blocages. La réflexologie est souvent recommandée pour apaiser les douleurs, rétablir la circulation énergétique, réduire les tensions nerveuses, résoudre des problèmes intestinaux ou soulager les symptômes du syndrome prémenstruel. Cette discipline est aussi efficace pour calmer les symptômes de la sclérose en plaques.

Le réflexologue travaille de manière indépendante ou en tant que salarié au sein d’une maison de retraite, d’un cabinet ou d’une unité de soin. Cette pratique n’est pas encore réglementée jusqu’à ce jour. Néanmoins, il vaut mieux suivre une formation pour maîtriser les approches de base. On tient à noter que les séances ne sont pas remboursées par l’Assurance maladie.

A lire: Devenir réflexologue – fiche métier

 

  1. Auriculothérapeute

L’auriculothérapie est une branche de l’acupuncture qui consiste à utiliser de fines aiguilles pour traiter un patient. L’auriculothérapeute place ces accessoires sur plusieurs points stratégiques du pavillon de l’oreille. La personne devra les garder pendant quelques minutes à plusieurs jours selon la maladie à traiter. Il choisit parmi les 278 points les parties à traiter afin de transmettre au système nerveux central des signaux qui pourront affecter la zone à soigner.

Pour réussir le traitement, il faut connaitre parfaitement l’anatomie du corps humain. La voie de la formation est donc incontournable pour apprendre à dépister les déséquilibres et les corriger correctement. Grâce à l’auriculothérapie, il est possible de rééquilibrer l’énergie vitale, d’avoir une meilleure hygiène de vie et de se débarrasser des toxines. Cette technique est aussi efficace pour :

  • réduire les douleurs comme le lumbago, l’arthrose, la sciatique ou la névralgie ;
  • évacuer le stress et réduire l’anxiété ;
  • améliorer le transit ;
  • résoudre les troubles du sommeil ;
  • se défaire d’une addiction ;
  • traiter une dépression passagère.

 

  1. L’ostéopathe

Une séance d’ostéopathie est souvent prescrite par un médecin dans le but de redynamiser les organes et les tissus. L’objectif est d’optimiser le fonctionnement des articulations. Cette technique permet également de soulager rapidement les douleurs et de traiter certaines pathologies comme les migraines, l’asthme et l’insomnie. Elle est souvent recommandée en cas de maux de dos, de stress et de dépression. Les manipulations sont aussi efficaces pour corriger une mauvaise posture.

L’ostéopathe utilise en général une approche holistique. Il réalise des massages et palpations pour calmer les douleurs. Pour évaluer l’état général des clients, il procède à des tests fonctionnels. Pour cela, il palpe les différents tissus et analyse les postures. Cela permet de détecter les blocages et les tensions, sources de déséquilibre et de malaise.

Une fois qu’il aura décelé l’origine du problème, il propose un traitement axé sur des approches manuelles. Le but ? Rétablir la mobilité de l’appareil musculo-squelettique et restaurer le système physiologique. Pour obtenir le titre d’ostéopathe, il faudrait intégrer une formation initiale. Puis, il est nécessaire de réussir à un concours organisé dans un établissement agréé par le Ministère de la Santé. Le cursus dure 5 ans.

 

  1. L’hypnothérapeute

L’hypnothérapeute influence le client par le biais de sa voix. Il s’agit aujourd’hui d’une bonne alternative à l’anesthésie. Grâce à son expertise, il est capable de plonger une personne dans un état de conscience modifié afin de l’aider à développer des comportements positifs et de changer sa perception de la vie. Attention ! Le sujet n’est pas dans un état de perte de conscience, mais plutôt dans un état de transe.

L’hypnothérapeute intervient dans de nombreux domaines :

  • reprendre confiance en soi ;
  • améliorer l’estime de soi ;
  • gérer l’anxiété, le stress et la dépression ;
  • perdre du poids ;
  • se sevrer,
  • mieux gérer ses émotions ;
  • traiter les traumatismes et phobies ;
  • calmer les douleurs chroniques ;
  • surmonter une épreuve difficile comme une rupture ou un divorce.

Il peut travailler pour son propre compte ou au sein d’une clinique, d’une entreprise ou d’un hôpital. De nombreuses écoles proposent des formations ouvertes au public et aux professionnels de santé. Il faut cependant noter que seul le corps médical peut avoir le titre d’hypnothérapeute. Les autres entrent dans la catégorie des « praticiens en hypnose ». Il faut également suivre une formation et se conformer à un code éthique pour travailler dans ce secteur.

Attention ! L’hypnotiseur de rue utilise l’hypnose à des fins de divertissement. Son rôle est de divertir le public dans la rue ou dans une salle de spectacle.

A lire Hypnose ericksonienne : qu’est-ce que c’est ?

  1. Le chiropracteur

Le chiropracteur ou chiropraticien est un spécialiste de la santé dont le rôle consiste à diagnostiquer, prévenir et traiter les troubles liés au système nerveux, à la colonne vertébrale et aux articulations. Pour cela, il sera amené à réaliser des corrections articulaires et verticales. Les techniques utilisées permettent également d’augmenter la capacité d’autoguérison afin que le corps puisse récupérer rapidement.

Cette médecine douce permet de :

  • accélérer la cicatrisation ;
  • soulager les douleurs articulaires et osseuses ;
  • résoudre les problèmes de locomotion.

Pour connaitre l’origine du trouble, il établit un questionnaire auquel le client doit répondre. Par la suite, il effectue un examen physique afin d’établir un diagnostic précis.

Le praticien réalise des manipulations au niveau du bassin et de la colonne vertébrale afin de transmettre des signaux électriques au cerveau et au niveau de plusieurs parties du corps. De même, il peut recourir à diverses thérapies physiques telles que les massages, les tractions, la chaleur ou l’ultrason. Il doit également conseiller ses clients sur leur habitude de vie afin d’améliorer leur bien-être. En France, il faut suivre une formation à l’IFEC pour exercer le métier.

 

  1. Le kinésithérapeute

Les services d’un kinésithérapeute s’adressent aux personnes souffrant de troubles neurologiques ou de paralysie ainsi qu’aux sujets accidentés. Il peut aussi venir en aide aux enfants et adultes souffrant d’affections respiratoires, rhumatismales ou circulatoires. Ses actes visent à améliorer les capacités fonctionnelles des malades. En plus d’un examen radiographique et d’un diagnostic médical, il réalise aussi son propre bilan pour déterminer le type de traitement à mettre en place. En effet, les techniques à utiliser varient selon l’état de santé du patient : massage, exercices physiques et bien d’autres encore.

Le kinésithérapeute soigne des douleurs bénignes comme les lombalgies, les entorses, les traumatismes et les torticolis. Il fournit aussi des conseils avisés afin d’éviter que le problème ne se reproduise dans l’avenir. Il exerce son activité en libéral ou dans un cabinet privé, un centre de rééducation, un hôpital, une maison de retraite ou un établissement thermal. Le métier requiert une bonne condition physique. Il faut également être titulaire d’un diplôme d’État de masseur kinésithérapeute pour exercer la profession en France.

 

  1. Le praticien Shiatsu

Le Shiatsu est une médecine non conventionnelle permettant de rééquilibrer l’énergie vitale, d’assouplir les muscles et de stimuler la circulation du sang. Ainsi, le praticien a pour vocation d’aider l’organisme à se débarrasser des influences négatives. Cette méthode est d’autant très efficace pour aider dans la gestion du stress et le traitement des troubles du sommeil. Elle est aussi recommandée pour apaiser les douleurs et combattre certains troubles corporels.

Pour soigner, le praticien Shiatsu procède à la stimulation des méridiens ou des points d’acupuncture avec ses doigts. Certes, le métier n’est pas soumis à une règlementation spécifique. Cependant, il est préférable de suivre une formation dans un centre spécialisé pour maîtriser tous les aspects de la profession. Après la validation de vos acquis, vous obtiendrez le titre de « technicien en accu pression énergétique et shiatsu » ou « spécialiste en Shiatsu ».

Cette discipline permet d’aider le patient à atteindre le bien-être physique, émotionnel et psychique et à se détendre. La plupart des praticiens sont des professionnels de la santé à l’instar des psychologues ou des kinésithérapeutes. La séance coûte en moyenne 50 euros.

 

  1. Le massothérapeute

Le massothérapeute est un spécialiste dans les soins thérapeutiques corporels. Il a recours à différentes méthodes pour détendre le client, relâcher les tensions, améliorer le bien-être, calmer les douleurs et stimuler la circulation sanguine :

  • massage ;
  • compresses,
  • lampes infrarouges ;
  • lampes à rayons ultraviolets ;
  • bains à remous ;
  • acupressure et bien d’autres.

À travers les réponses obtenues via un questionnaire, il est apte à évaluer les capacités physiques et l’état de santé général du patient. Il pourra ainsi définir le meilleur traitement à adopter.

Le massothérapeute peut prendre en main des personnes de tout âge. Les manipulations ont un effet énergisant et apaisant permettant d’apaiser les affections dues au stress telles que la migraine ou l’épuisement physique. Pendant la grossesse, son objectif consiste à minimiser les risques de blessure du périnée pendant l’accouchement et les effets post-partum. Après la naissance du bébé, il aide la femme à se réapproprier son corps, tonifier les zones fatiguées et prévenir le baby blues. Les techniques employées sont aussi efficaces pour améliorer la croissance des enfants prématurés, traiter la constipation et la fibromyalgie.

Parmi les méthodes les plus courantes, on peut citer entre autres :

  • le massage européen masso-kinésithérapie ;
  • le massage moderne nord-américain ;
  • les techniques posturales ;
  • les thérapies énergétiques ;
  • les techniques orientales.

Pour devenir massothérapeute, il faut suivre une formation de 4 ans en masso-kinésithérapie.

 

  1. Praticien ayurvédique

L’Ayurveda a trouvé son origine en Inde. Cette discipline permet d’assurer l’équilibre du corps humain pour rester en bonne santé. En effet, les maladies sont les résultats d’un déséquilibre. Elle prône l’autoguérison en harmonisant les doshas : l’éther, l’air, la terre, le feu et l’eau.

Avant de proposer un soin personnalisé, le praticien réalise un bilan complet dans le but d’identifier les causes. Ensuite, il conseille son client sur différents plans. Les traitements sont également multiples :

  • La diététique : il faut corriger son alimentation pour rester en bonne santé.
  • La phytothérapie : cette discipline répertorie une grande variété de plantes pour soigner. Elles sont disponibles sous forme de gélules, poudre, comprimé, vin médicinal et infusion. Il est aussi possible de concocter des boissons froides ou chaudes, des décoctions à partir des plantes fraiches.
  • L’hygiène de vie et les soins ayurvédiques à suivre : il existe un rituel qu’il faut adopter le matin pour mieux appréhender sa journée et favoriser l’endormissement le soir.

Un traitement Ayurveda s’accompagne le plus souvent des exercices de yoga, de méditation et de respiration. Il peut aussi pratiquer des massages. En tout cas, c’est une médecine traditionnelle et holistique reconnue par l’OMS.

Les formations en médecine alternative pullulent de nos jours. Pour profiter d’un enseignement de qualité, sélectionnez avec soin votre école, car toutes ne se valent pas. Si possible, privilégiez un établissement ayant pignon sur rue et délivrant un titre ou une certification reconnue dans le secteur de la médecine douce.

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